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Мифы об инвестициях: чему не учат в школе экономики

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Une éducation économique formelle fournit une base, mais elle aide rarement à développer la confiance dans les décisions financières personnelles. Les cours académiques abordent la macroéconomie, les théories du capital et les modèles de comportement des marchés, mais négligent le niveau appliqué.

En conséquence, même ceux qui ont étudié dans des facultés d’économie continuent de croire aux mythes courants sur les investissements. Pourtant, ce sont ces mythes qui entravent la mise en place d’une stratégie personnelle, l’évaluation adéquate des risques d’investissement et la gestion du capital.

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Illusion de connaissance : comment se forme la fausse confiance ?

Un des paradoxes dangereux est le sentiment que la connaissance des taux d’intérêt et du PIB donne automatiquement une compréhension des investissements personnels. Cependant, les investissements pour les débutants nécessitent des compétences plutôt que des théories : calcul du rendement, évaluation des obligations, comparaison des actions, analyse de portefeuille. L’approche formelle remplace la pratique, et les diplômés ne savent pas comment commencer à investir dans des instruments réels.

Les mythes sur les investissements sont souvent renforcés par le système éducatif : les étudiants étudient des modèles qui fonctionnent dans des conditions idéales, mais qui ne concernent pas la vie réelle. En fin de compte, des choses simples telles que le choix d’un courtier, l’évaluation des risques, la stratégie d’achat d’actifs restent en dehors du cadre.

Mythe n°1. Une éducation financière garantit le succès

L’idée selon laquelle un diplôme confère un avantage en matière d’investissement n’est pas confirmée par la pratique. Les mythes sur les investissements incluent la croyance que l’éducation comble toutes les lacunes. Cependant, le revenu réel dépend non pas des théories, mais des décisions. La capacité d’analyser, de construire une stratégie, de gérer les émotions et de répartir le capital est plus importante que les connaissances académiques.

N°2. Il faut investir uniquement avec des fonds excédentaires

Dans un environnement académique, on entend souvent l’argument selon lequel il faut d’abord épargner, puis investir. En réalité, plus tôt vous commencez votre parcours d’investissement, meilleurs seront les résultats. Même de petites sommes investies régulièrement apportent un effet à long terme grâce aux intérêts composés. Les investissements pour les débutants ne concernent pas les millions, mais le démarrage avec un dépôt minimum et la discipline.

N°3. Tous les risques doivent être éliminés à l’avance

L’idée d’une prévisibilité totale est un mythe courant sur les investissements. Les risques d’investissement ne peuvent pas être complètement éliminés, mais ils peuvent être calculés, acceptés et intégrés dans un portefeuille. En réalité, les actions prises avec un risque calculé entraînent une croissance, tandis que toute tentative d’éviter toute fluctuation entraîne la stagnation. C’est là que les conceptions académiques entrent en contradiction avec la pratique.

N°4. Les investissements nécessitent beaucoup de temps et une analyse quotidienne du marché

Ce mythe est même soutenu dans le milieu éducatif, où l’image d’une personne regardant des graphiques jour et nuit est créée. En pratique, vous pouvez choisir une stratégie conservatrice ou automatisée, réduire votre implication et obtenir un profit stable. Les investissements nécessitent beaucoup de temps – une affirmation contredite par des cas réels d’investisseurs travaillant avec des fonds indiciels et des réinvestissements automatiques.

N°5. L’actif le plus fiable est l’immobilier

Beaucoup croient encore que l’investissement dans l’immobilier est le seul moyen de protéger son argent. Cependant, l’immobilier est un actif limité en liquidité, nécessitant des coûts élevés à l’entrée et à la sortie. Contrairement aux titres, il n’est pas possible de vendre rapidement et sans pertes un bien immobilier. Les mythes sur les investissements liés à l’« immobilier » sont obsolètes dans l’économie numérique.

N°6. Il vaut mieux simplement épargner

Dans un contexte d’incertitude, le conseil « économisez simplement » est souvent entendu. Mais sans croissance, le capital perd de sa valeur sous la pression de l’inflation. Même les économies les plus fiables se déprécient si elles ne sont pas actives. Un portefeuille bien choisi d’actions et d’obligations permet de conserver et d’augmenter le capital avec un risque modéré.

N°7. Il vaut mieux placer sur un dépôt

De nombreux étudiants et diplômés, peu familiers avec la pratique, se tournent vers les instruments bancaires. Cependant, les profits réels des dépôts sont souvent inférieurs au taux d’inflation. À long terme, de tels investissements conduisent à la stagnation. Même les investissements pour les débutants via des fonds offrent une efficacité supérieure !

N°8. Tous les investissements sont compliqués

Le mythe sur les investissements formé dans le milieu éducatif : les investissements sont stressants et seuls les audacieux s’y engagent. Cependant, il existe des outils avec un rendement prévisible, réglementés par l’État et adaptés même aux plus prudents. Minimiser les risques en matière d’investissement est une tâche qui se résout par des outils, et non par le refus de participer.

N°9. Un investisseur réussi est un gourou du marché

La réalité est tout autre : les investisseurs les plus stables ne sont pas ceux qui devinent les tendances, mais ceux qui investissent régulièrement et détiennent un portefeuille à long terme. L’image du « génie du trading » est un mythe avantageux pour les médias. Dans la pratique réelle, une stratégie simple apporte de meilleurs résultats que des spéculations complexes.

N°10. Il ne faut pas investir en période de crise

La crise n’est pas un signal d’arrêt, mais une opportunité. C’est précisément en période de baisse que des opportunités d’acheter des actifs à un prix réduit se présentent. Les mythes sur les investissements qui inspirent la peur pendant les périodes turbulentes empêchent de voir le potentiel de croissance. L’histoire du marché boursier montre que des périodes de reprise suivent toujours les baisses.

Pourquoi l’école d’économie n’apprend-elle pas à investir ?

La raison est simple : l’objectif de l’université est de fournir une base, et non de développer des compétences pratiques. La pratique, la réflexion et la stratégie se développent de manière autonome. Les mythes sur l’investissement persistent précisément parce qu’ils sont rarement remis en question dans l’environnement éducatif.

On n’apprend pas comment analyser le marché boursier, comment répartir les revenus, comment élaborer un plan d’investissement personnel. Les outils réels ne sont pas expliqués : obligations, trading, dividendes, mécanisme des coupons.

Ce qu’il est vraiment important de savoir au début pour éviter les mythes sur les investissements ?

L’école d’économie ne transmet pas les fondements essentiels suivants nécessaires à tout investisseur :

  • il est possible et nécessaire d’investir avec des sommes minimales ;
  • la stratégie est plus importante que le montant ;
  • les risques ne sont pas des ennemis, mais des facteurs à gérer ;
  • le courtier n’est pas seulement un intermédiaire, mais la clé de la plateforme ;
  • les coupons et les dividendes sont la base d’un revenu passif stable ;
  • la liquidité et la diversification sont plus importantes que les actifs « bruyants » ;
  • les actions ne sont pas des ennemis, mais le moteur principal de la croissance du portefeuille ;
  • il n’est pas nécessaire d’être un expert pour commencer ;
  • l’analyse est plus importante que l’intuition ;
  • la discipline est plus précieuse que la prévision.

La compréhension des principes permet de développer une stratégie solide et de détruire les fausses idées sur les finances.

Irwin

Conclusion

Les mythes sur les investissements persistent non seulement dans l’esprit des personnes non préparées, mais aussi au sein du système éducatif. Le manque d’outils pratiques, le remplacement de la réalité par des modèles, l’ignorance de la psychologie de la prise de décision entravent tous la formation d’une stratégie personnelle.

Cependant, la compréhension de la nature, la connaissance des mécanismes, la discipline et l’évaluation rationnelle des risques permettent de construire un modèle d’investissement judicieux. Cela n’est pas enseigné à l’université – et c’est précisément cela qui devient la base de l’indépendance financière !

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La transformation numérique a complètement changé la structure du comportement des consommateurs. D’ici 2025, les achats virtuels se sont imposés comme un modèle de consommation de base. Dans ce contexte, la question pratique se pose : faut-il investir dans les boutiques en ligne, alors que le marché semble saturé et la concurrence féroce ? La réponse nécessite une analyse précise basée sur la structure de la demande, les dépenses, les modèles commerciaux et la rentabilité.

Perspective du marché : faut-il investir dans les boutiques en ligne

Le développement du commerce de détail en ligne ne s’étend pas en largeur, mais en profondeur. L’expansion ne signifie plus le lancement de dizaines de nouveaux formats, mais implique l’amélioration de l’efficacité opérationnelle, la personnalisation en fonction de la demande et la gestion des données. Selon les tendances, le volume du segment mondial en ligne a dépassé les 6,5 billions de dollars d’ici 2025. La croissance principale n’est pas venue des hypermarchés, mais des boutiques virtuelles de niche, se concentrant sur des demandes segmentées. Ainsi, la question de savoir s’il faut investir dans les boutiques en ligne nécessite de prendre en compte la spécificité : une niche étroite apporte souvent plus qu’une couverture de masse.

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70% du public effectue des achats réguliers en ligne. Le panier moyen et la fréquence augmentent grâce à la personnalisation, à la commodité et aux programmes de fidélité. Dans de telles conditions, le commerce numérique devient un outil d’investissement courant aux côtés des obligations et des actions.

Aspect financier : coûts initiaux et retour sur investissement

Pour comprendre s’il faut investir dans les boutiques en ligne, il est nécessaire d’évaluer la structure des coûts initiaux et les délais de rentabilité.

Principaux postes de dépenses :

  • développement du site et de la version mobile – de 100 000 à 500 000 roubles ;

  • CRM, intégration de la gestion des stocks et de la logistique – jusqu’à 150 000 roubles ;

  • budget publicitaire pour le lancement – à partir de 200 000 roubles ;

  • achat du premier lot de marchandises – de 300 000 à 1 000 000 roubles ;

  • licences, certification, impôts – à partir de 50 000 roubles.

Les investissements totaux commencent généralement à partir de 800 000 roubles. Mais avec un créneau soigneusement choisi, le délai de rentabilité est de 8 à 14 mois. La marge nette sur les produits varie de 10% à 40%, selon la catégorie. Les marques avec une livraison exclusive, une production limitée ou une valeur client élevée démontrent la rentabilité la plus élevée.

Demande, concurrence et choix de niche

Le lancement massif de boutiques en ligne a entraîné une augmentation de la concurrence, en particulier dans les segments de l’habillement, de l’électronique et des produits pour enfants.

Critères principaux pour choisir une niche :

  • valeur client élevée ;

  • taux de réachat ;

  • faible taux de retours ;

  • audience cible claire ;

  • nombre limité de grands concurrents.

Qu’est-il avantageux de vendre dans une boutique en ligne

En 2025, les produits suivants suscitent de l’intérêt :

  • produits personnalisés (gravure, design sur mesure) ;

  • aliments sains et produits écologiques ;

  • produits de producteurs locaux ;

  • biens numériques et modèles d’abonnement ;

  • produits éducatifs et de développement.

Plateforme ou projet autonome : où investir

Sur le marché, deux formats clés coexistent : les marketplaces et les entreprises indépendantes. Avant d’investir, il est nécessaire de déterminer ce qui apportera les meilleurs résultats.

Avantages des marketplaces :

  • audience prête à l’emploi ;

  • logistique simplifiée ;

  • automatisation des processus.

Inconvénients :

  • commissions élevées (jusqu’à 20-30%) ;

  • difficultés de personnalisation ;

  • absence de contrôle sur la base de clients.

Boutique en ligne indépendante

Ce format permet de construire une marque, de gérer l’expérience client, de collecter ses propres données, de lancer des campagnes marketing flexibles. Cependant, il nécessite des investissements et des compétences plus élevés.

Promotion et expansion : comment assurer la croissance d’une boutique en ligne

Après le lancement, toute boutique en ligne entre dans une phase de concurrence active. Pour éviter la dépréciation des investissements, l’entreprise nécessite une expansion constante à travers la publicité, la fidélisation de l’audience et l’analyse systématique. C’est la promotion qui détermine si l’investissement dans les boutiques en ligne en vaut la peine – le retour sur investissement dépend directement de la capacité à générer un flux de commandes stable.

L’environnement numérique offre des dizaines de canaux d’acquisition d’audience. Les plus efficaces sont :

  1. Publicité contextuelle (Google Ads, Yandex Direct) – adaptée aux ventes rapides et aux tests de niche.

  2. Optimisation pour les moteurs de recherche – apporte un trafic organique stable à faible coût par clic.

  3. SMM – contribue à la construction de la marque et aux ventes directes via les réseaux sociaux.

  4. Email marketing et messagerie – permet de renforcer la confiance et d’augmenter la valeur à vie du client.

  5. Réseaux CPA et programmes d’affiliation – élargissent la portée sans dépenses directes de publicité.

  6. Tunnels de vente et automatisation des tunnels – automatisent le cycle de vente du premier contact à la commande récurrente.

Systèmes d’analyse et gestion des données

La promotion est impossible sans suivi et ajustement. L’utilisation d’une analyse intégrée, d’un CRM et de systèmes de comptabilité permet de suivre l’efficacité réelle des canaux. L’investisseur obtient des indicateurs transparents : coût moyen d’acquisition, taux de conversion, ROI, dynamique des commandes récurrentes.

Risques : réalités des affaires en 2025

Même le projet le plus soigneusement élaboré est confronté à des risques externes et internes. Pour répondre précisément à la question de savoir s’il faut investir dans les boutiques en ligne, il est nécessaire d’évaluer les menaces potentielles et les moyens de les minimiser.

Principaux risques des investissements dans les boutiques en ligne :

  • marché surchauffé – une concurrence élevée réduit les marges et augmente le coût d’acquisition client ;

  • changements logistiques – retards dans les entrepôts, instabilité des approvisionnements, augmentation des coûts de livraison ;

  • dépendance des plateformes publicitaires – les mises à jour des algorithmes de Google, Meta, des marketplaces peuvent réduire le trafic ;

  • difficultés de recrutement – pénurie de spécialistes qualifiés dans des niches étroites (analyse, marketing de performance, achats) ;

  • changements juridiques et fiscaux – transition vers une nouvelle fiscalité, réglementation de la publicité, exigences en matière de données personnelles.

Comment minimiser les risques :

  • miser sur la marque, pas seulement sur le produit ;

  • automatiser la logistique et le stockage via l’externalisation ;

  • simplifier le parcours utilisateur (UX/UI) ;

  • élaborer un modèle financier en tenant compte des scénarios pessimistes ;

  • utiliser des stratégies multicanales et tester des hypothèses ;

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  • garder un « coussin financier » équivalent à 3-6 mois de dépenses opérationnelles.

Alors, faut-il investir dans les boutiques en ligne ?

Le commerce en ligne en 2025 s’est solidement établi en tant que domaine d’investissement mature et systémique. Malgré la saturation et la concurrence croissante, le marché conserve une dynamique de croissance élevée et offre des scénarios de développement flexibles. La gestion directe, l’économie transparente, la scalabilité, la possibilité de diversification et la flexibilité du modèle sont des arguments clés en faveur des investissements. Faut-il investir dans les boutiques en ligne ? Oui, à condition d’adopter une approche réfléchie. Le succès sera assuré par une planification systématique, une analyse, un positionnement stable et une adaptation aux évolutions du marché.

Le marché du commerce électronique est entré dans une phase de maturité, et en 2025, les plateformes ne sont plus simplement des lieux de commerce, mais l’équivalent numérique d’un centre commercial mondial. La question de savoir s’il faut entrer sur les marketplaces est un défi auquel sont confrontés les fabricants, les distributeurs et les jeunes marques. L’attrait des plateformes réside dans l’infrastructure prête, le public et les outils d’analyse, mais le succès nécessite une planification. L’ampleur du marché est confirmée par la dynamique : en Russie, le chiffre d’affaires combiné des 5 premières marketplaces en 2024 a dépassé 5 billions de roubles, avec un nombre de commandes de 4,2 milliards. Ces chiffres signifient une chose : le trafic et la demande existent déjà, il suffit simplement d’apprendre à y travailler.

Faut-il entrer sur les marketplaces en 2025 ?

Les marketplaces en 2025 fonctionnent selon des règles différentes de celles du début de la décennie. Ozon, Wildberries, Yandex Market, KazanExpress et Aliexpress Russie ont redistribué leur public entre eux, tout en enregistrant une croissance totale du nombre de vendeurs de 38% en un an. La commission moyenne par vente a augmenté pour atteindre 17,8%, en fonction de la catégorie et du modèle logistique. Par exemple, pour l’électronique, la commission atteint 24%, tandis que dans le secteur de la mode, elle ne dépasse pas 13,5%.

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Les plateformes ont élargi leurs systèmes de reporting, d’automatisation et de ciblage, introduit des API pour connecter les ERP et CRM. Les algorithmes de classement et de recommandation ont changé : maintenant, la vitesse de réponse, la profondeur du catalogue de produits et les métriques de commandes récurrentes sont importants. Entrer sur les marketplaces dans ces conditions dépend de la volonté d’utiliser pleinement ces plateformes comme un système de vente complet, et non simplement comme une vitrine.

Modèles d’entrée : entrée directe ou via des partenaires

La décision d’entrer sur une marketplace en 2025 implique de choisir entre trois modèles principaux, parmi lesquels :

  1. L’inscription directe selon le modèle FBS (Fulfillment by Seller), où le vendeur stocke les marchandises et gère lui-même la livraison.
  2. L’utilisation de la logistique de la plateforme selon le schéma FBO (Fulfillment by Operator) avec stockage dans l’entrepôt de la marketplace.
  3. Travailler avec des agences de distribution qui prennent en charge la promotion, les fiches produits, la logistique et même les achats.

Le délai moyen pour atteindre le point mort en entrant directement est de 4,5 mois. En travaillant avec des agences, ce délai est réduit à 2 mois, mais en tenant compte des commissions, des services supplémentaires et des restrictions contractuelles. Entrer sur les marketplaces sans expérience est définitivement une option, mais à condition d’avoir une stratégie d’entrée claire, une tarification et un contenu bien définis.

Le produit comme principal outil : faut-il entrer sur les marketplaces en 2025 ?

Le consommateur de 2025 se base sur la comparaison, les avis, la livraison rapide et la perception visuelle de la fiche produit. Ainsi, même un produit unique sans photo à 360°, avis et service réactif perd en compétitivité. Entrer sur les marketplaces avec un produit de base n’a pas de sens sans une réflexion sur l’USP, l’emballage et le support.

Un exemple : un fabricant de cosmétiques naturels de Novossibirsk a multiplié son chiffre d’affaires de 90 000 à 1,3 million de roubles par mois en 6 mois en se concentrant sur le design, les vidéos, les échantillons et en passant au FBO. La clé n’était pas le prix, mais la perception de la marque dans les classements et les avis.

Publicité et promotion : combien investir et où

La promotion sur les marketplaces en 2025 ne se limite pas à la publicité par bannière, mais comprend un ensemble d’outils : tests A/B des fiches produits, enchères automatiques dans la recherche, mécanismes promotionnels, cashback, offres spéciales. Les dépenses en trafic au lancement représentent 18 à 25 % du chiffre d’affaires. Pour calculer la rentabilité, il est important de prendre en compte :

  1. Le coût par clic dans la recherche (en moyenne de 4 à 20 roubles par clic).
  2. Le ROI de la campagne (un bon indicateur est de 130 % et plus).
  3. L’impact des avis et du classement sur l’organique.

Entrer sur les marketplaces sans prévoir de budget publicitaire n’est pas recommandé, même en cas de forte demande, car les fiches produits sans trafic ne se classent pas en tête, ce qui signifie une perte de visibilité.

Les vérifications à effectuer par l’entrepreneur avant de se lancer

Entrer sur les marketplaces sans préparation n’est pas recommandé si les conditions de lancement de base ne sont pas remplies :

  1. Calcul financier de l’économie unitaire en tenant compte de toutes les commissions.
  2. Préparation à remplacer l’emballage selon les exigences de l’entrepôt.
  3. Photos et descriptions conformes aux filtres de modération.
  4. Analyse des concurrents – prix, avis, design des fiches produits.
  5. Intégration avec WMS/CRM ou au moins contrôle manuel des stocks.
  6. Configuration des retours et processus clair de traitement des commandes.
  7. Enregistrement de la personne morale et de la caisse enregistreuse (obligatoire par la loi).
  8. Réserve budgétaire pour la publicité, surtout les 3 premiers mois.
  9. Élaboration d’une stratégie promotionnelle et participation aux grandes ventes.
  10. Plan d’action en cas de chute du classement (pénalités, retards, etc.).

Chaque point a un impact direct sur la stabilité financière et le chiffre d’affaires final.

Entrer dans des niches étroites : où la concurrence est moindre et la marge plus élevée

Les plateformes en 2025 développent activement des catégories peu saturées : le segment B2B industriel, les pièces détachées, les produits pour l’hôtellerie-restauration, les pièces de rechange, les produits régionaux de fermes. Dans ces catégories, la marge moyenne est plus élevée – jusqu’à 42 %, la concurrence est plus faible et les taux de conversion atteignent 7 à 11 %.

Exemple : un fournisseur de pièces de plomberie de Tver a créé une marque pour les marketplaces, lancé 38 SKU, atteint un chiffre d’affaires de 4,7 millions de roubles au premier trimestre, tout en maintenant un coût par clic trois fois inférieur à celui de la catégorie « électroménager ».

Entrer sur les marketplaces dans ces segments est particulièrement avantageux pour les marques de fabrication et locales.

Réglementations, impôts et évolutions législatives

Le Service fédéral des impôts a renforcé le suivi des opérations sur les marketplaces. En 2025, chaque entité juridique est tenue de transmettre des données de vente via un logiciel de caisse intégré au système « Honnête commerçant ». Les normes concernant le commerce en ligne et le marquage dans les secteurs de l’habillement, de la chaussure, de la cosmétique et des produits pour enfants ont également été actualisées.

Pour travailler légalement, il est nécessaire de s’enregistrer en tant qu’entrepreneur individuel/société à responsabilité limitée, d’utiliser une caisse enregistreuse, de soumettre des rapports et de payer la TVA ou le régime fiscal simplifié. Entrer sur les marketplaces sans comprendre la charge fiscale est risqué, surtout en cas de planification d’une croissance importante.

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Le commerce numérique comme nouveau levier de croissance

Les plateformes en 2025 sont devenues de véritables écosystèmes commerciaux. La décision d’entrer sur les marketplaces ne peut être universelle. Avec un produit à prix compétitif, un emballage soigné et une stratégie bien élaborée, la plateforme peut entraîner une croissance exponentielle en 3 à 6 mois. Mais sans planification, elle peut devenir un canal qui absorbe les ressources.

Les cas concrets montrent que ceux qui adaptent leur modèle à la logique de la plateforme, automatisent les processus et utilisent activement les outils de promotion atteignent une rentabilité stable plus rapidement que dans le commerce de détail traditionnel.